Cet été, il n’y a pas eu de crainte de tiques dans la région de la mer Noire orientale.

Dans la région de la mer Noire orientale, il a été indiqué que le nombre de cas de tiques cet été est presque le même que l’année dernière et que 12 patients atteints de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) provenant des provinces de la région ont été traités et renvoyés chez eux en mai et juin …

Cet été, il n’y a pas eu de crainte de tiques dans la région de la mer Noire orientale.
Publish: 04.07.2024
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Dans la région de la mer Noire orientale, il a été indiqué que le nombre de cas de tiques cet été est resté à peu près le même que l’année dernière et que 12 patients atteints de fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) provenant des provinces de la région ont été traités et renvoyés chez eux en mai et juin. Le Dr. Gürdal Yılmaz, chef du département des maladies infectieuses et de la microbiologie clinique de l’hôpital Farabi de la Faculté de médecine de l’Université technique de la mer Noire (KTÜ), a déclaré que cette année, ils étaient particulièrement préoccupés par l’augmentation du nombre de cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) pendant la période de l’Aïd al-Adha, mais a souligné qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Yılmaz a déclaré : ‘Nous avions peur que le nombre de cas de FHCC augmente pendant la période de l’Aïd al-Adha ; Il n’a pas beaucoup augmenté, il est resté au même niveau, et nous prévoyons une diminution des cas en août. Cette année, nous avons eu environ 12 patients qui sont venus nous consulter en mai et juin. Le nombre de patients a augmenté vers la fin du mois de mai, mais actuellement, il n’y a aucun patient hospitalisé dans notre service.’ Yılmaz a ajouté : ‘Nous traitons nos patients venant de la région à intervalles réguliers et les renvoyons chez eux. Jusqu’à présent, aucun de nos patients n’est décédé à l’hôpital, mais nous entendons des nouvelles de décès dans d’autres endroits. Nous avons eu des patients venant surtout de Gümüşhane, Kelkit, Şiran, Artvin, Ardanuç, parfois de Şebinkarahisar, et tous ont été renvoyés chez eux guéris. Surtout dans ces régions, il est nécessaire de prendre des mesures de protection lorsqu’on se rend dans les champs, les vignobles ou les jardins. Les mesures de protection incluent le fait de tirer ses chaussettes par-dessus son pantalon et de vérifier s’il y a des tiques sur tout le corps en rentrant à la maison. Plus les tiques restent longtemps sur le corps, plus l’infection peut être grave. Les chiffres de cette année sont similaires à ceux de l’année dernière. Les cas de FHCC sont plus fréquents du côté de Tokat et Sivas… Nous observons des chiffres similaires à ceux de l’année dernière chez nous. Nous pensons que le nombre de cas ne augmente pas peut-être grâce à la sensibilisation de la population aux avertissements.’

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